Selon l’auteur d’une récente future thèse de doctorat en sociologie, les organisations religieuses controversées que l’on appelle communément « sectes » ne seraient pas néfastes ; au contraire, elles amélioreraient la vie de leurs adeptes. Devant la méthodologie de ladite thèse, le concept de science molle prend tout son sens.
Note – Cet article a été mis à jour le 17 aout, suite aux échanges que j’ai eus avec le doctorant, dans les commentaires, reproduits au bas de cette page.
J’ai coutume sur ce blogue – lorsque je le juge nécessaire – de critiquer les institutions chargées de lutter contre les sectes. Mais j’éprouve un intérêt similaire à démonter le discours d’universitaires qui se complaisent dans la défense systématique de ces mêmes organisations religieuses controversées. Me revoici donc de retour en Terra cognita.
Se convertir à soi en contexte « sectaire » : subjectivation
et
agentivité
des
membres
de
l’Église
de
Scientologie
et
du
Mouvement
Raëlien
en
France
au
prisme
des
rapports
sociaux
Tel est le titre d’une thèse de doctorat que rédige rédigée par un étudiant en sociologie, Guillaume Roucoux, à l’origine sous la direction de Régis Dericquebourg, à l’École pratique des hautes études (EPHE) à Paris.
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